Je le dis avec enthousiasme et avec une joie immense, il n’y a vraiment que dans des endroits sacrés comme Lourdes, le Mont St Odile, la basilique ou maison de Jeanne d’Arc (pour ne citer que quelques’ uns car il y en a tant) ou la Nature dans toute sa splendeur et avec son calme guérisseur, que je trouve une paix que je qualifierai de « divine ».
Mon fils a été à un mariage en Hongrie cet été et me raconte souvent que l’atmosphère là-bas, sans agitation, sans futilités, génère une vie plus simple et beaucoup moins dans les apparences. Les personnes y sont encore plus solidaires et authentiques. Un peu comme il y a des décennies chez nous, dans nos villages où quoi qu’il arrivait on pouvait compter sur sa famille, ses amis, ses voisins.
Il m’a parlé avec tellement de ferveur et de joie dans les yeux de ce pays et des impressions qui sont restées, que cela a réveillé des souvenirs enfouis d’un bien-être où l’argent était plus absent et pas le moteur de toute chose, mais le cœur et l’entraide !
Nous sommes entrain de tout perdre, du moins l’essentiel, ne nous laissons pas prendre ces bases, ces valeurs qui sont au fond au service de Dieu à travers nous, et sans lesquelles toute joie nous sera prise à jamais.
Ces déprimes et nostalgies profondes qui génèrent nos maladies viennent de là, on veut nous dépouiller au fond de notre âme, ne nous laissons pas faire, ne nous renions pas ! Revenons à nos principes fondamentaux, de respect, d’amour et de foi !