Un jour, pas si loin, j’en suis persuadée, quand nous en aurons tous assez de la solitude devant nos écrans et que certains d’entre nous en serons jusqu’à devenus fous d’isolement, nous reviendrons à ce qui manque tellement à nos vies : l’âme des petits commerces de proximité, les guinguettes, les petits bals de villages, le bistrot sympa où tout le monde se connaît.
Lorsque nos villes et villages au lieu de ne plus être que des dortoirs, des isoloirs, des couloirs, redeviendront des lieux de communication entre les gens, de jeux, de jardins d’enfants où chacun garde un oeil bienveillant sur les autres, jeunes et vieux, où vous pouvez oublier votre porte-monnaie et avoir votre pain avec le sourire du boulanger tout de même, là ce sera le début de la renaissance !