Nous vivons dans une société anxiogène qui ne donne de l’importance qu’à la matière. Il faut avoir pas être. Du coup, nous perdons notre joie de vivre, ne voyons plus les petits bonheurs quotidiens qui font réellement notre bonheur, nos plaisirs éphémères nous laissent assoiffés et frustrés.
Nos carences sont immenses, aussi immenses que nos addictions. Cet esclavage aux choses futiles, cette insatiabilité nous rend vides et fous. Il faut nous abreuver à nouveau des choses de tous les jours, simples et naturelles, revenir à des vies simples et sobres en harmonie avec l’environnement et ponctuer notre vie par le travail, la prière, le repos à tour de rôle.
Un grand sentiment de liberté reviendra par cette voie là et aucune autre, octroyez-vous des « oasis » de solitude, d’étonnement, de méditation avant que l’humanité toute entière ne disparaisse à cause de sa cupidité et son égoïsme
Il y a dans ce monde assez de créativité, de potentialité et d’aspirations généreuses qui permettraient de changer de système de valeurs, afin que l’Homme et la Nature prévalent contre l’usure et le PIB.