Un oiseau vivant mange des fourmis, et puis un jour, lorsqu’ il meurt, il est lui-même dévoré par ces fourmis.
La morale de cette constatation toute simple est qu’il ne faut jamais user ou abuser de son « pouvoir », car un jour nous retrouvons ces personnes que nous avions négligé, méprisé au-dessus de nous, dans cette vie ou dans une autre.
Je me souviens de ce monsieur qui avait un comportement exécrable avec ses semblables, et qui un jour se retrouva en panne au bord de la route. Les minutes et les heures passèrent, tous ceux qui le reconnurent accéléraient en le voyant. Il commença à marcher en fulminant sous une pluie battante.
Et puis enfin, la voiture la plus modeste de son village s’arrêta, à l’intérieur une petite dame, de ces personnes que ce monsieur méprisait, lui ouvrit la porte. Quelle belle leçon de vie, d’humilité.
D’une part, il put mesurer sa « popularité », d’autre part il commença à comprendre l’importance de toute personne, car chacun sert à quelque chose, et chacun peut un jour nous sauver d’une situation ou carrément la vie.
Il suffit d’un arbre pour faire des milliers d’allumettes, mais une allumette suffit pour ravager une forêt entière …