Nous l’avons tous remarqué, les femmes veulent de plus en plus « ressembler » aux hommes et pire encore, on les encourage dans ce sens.
Or qui y a t-il de plus beau que de se sentir bien dans son corps, que l’on soit femme ou homme. Le sujet est grave, car elles n’ont en réalité jamais autant perdu en féminité et dignité que ces dernières décennies. Les féministes ont en effet, fait plus de mal que de bien, car le vrai respect dans la différence entre les sexes, vient de l’éducation maternelle d’abord, parentale tout court. Apprenez à un garçon à respecter sa mère, sa sœur, et il respectera sa femme, sa fille et toutes les autres femmes de la Terre.
Ce ne sont jamais des lois qui réparent, éduquent et guérissent, mais bien des sentiments, des valeurs et le respect.
Voilà, certaines ont réclamé l’égalité, et n’ont obtenu en réalité que le droit de payer leur repas (au lieu d’être invitées par l’Homme) et que l’on leur claque la porte de la voiture au nez, au lieu de leur tenir avec délicatesse.
La génétique suivant le pas, non contentes de fumer et de boire comme des marins revenus au port après des mois, les femmes dans leur imitation ridicule et perverse des comportements masculins finissent par ressembler physiquement et de caractère, à des rustres, sortes de créatures hybrides « fabrication maison ».
Il me semble, qu’être féminine a toujours été un atout, dont les femmes intelligentes et bienveillantes savaient « jouer » et gagner !
De plus, le climat individualiste ambiant, le discrédit de la notion d’autorité, la multiplication des familles dirigées par des mères célibataires ont fabriqué une génération de narcissiques immatures, d’adultes aussi despotiques qu’inachevés, restés fixés au stade pré-œdipien parce que le Père, représentant symbolique de la Loi, n’est plus capable d’aider ses enfants à rompre le lien fusionnel avec la mère et n’a plus d’autorité, ayant été castré par sa femme, après sa mère.
Cette infantilisation va de pair avec la féminisation de la société. Quand l’enfant est roi, ce sont les femmes qui exercent la régence ! Tout cela n’est pas nouveau : Platon, dans La République, évoquait déjà le moment où « le père s’accoutume à traiter son fils comme son égal et à redouter ses enfants ». Ayant évacué tout rapport d’autorité, les rapports parents-enfants sont désormais de l’ordre de la séduction, qui est le contraire de l’éducation. »
Pire encore, et signe d’un grand déséquilibre, au fur et à mesure que les femmes prennent des allures d’hommes, les hommes eux se féminisent, perdent de leur superbe (et de leur confiance) en même temps que leurs poils sur le torse, deviennent craintifs et font dans l’émotion … C’est le monde à l’envers !
Heureux ceux qui savent qui ils sont, et qui sont bien dans leur corps et dans leur tête ! Ce (ceux) qu’ils engendreront n’aura pas besoin de voir un psychiatre …