MARIE
Tous les jours me vient cette pensée : que ferais-je sans vous ma mère ?
L’abandon des siens, quand de vous ils ont besoin, est la pire lâcheté, qu’il s’agisse de sa famille, de son animal, de ses concitoyens, ou de son peuple.
Les traditions qui vous pesaient un peu adolescent, sont à l’âge adulte, votre squelette, et tout s’ébranle sans elles !
Un bon geste, c’est toujours du bénéfice pour soi-même aussi.
Dès que nous corrigeons nos « fausses croyances », nos fausses conceptions, nos misères s’arrêtent.
La vie est amour, et si elle est amour, le résultat est la paix.
On ne peut jamais forcer personne à prendre le même chemin que nous, il faut la laisser libre et l’aimer quelle que soit sa décision.
Aie de la compassion pour toi-même aussi, attire la douceur en étant moins brutal avec toi d’abord.