BEAU
Ne touchons pas à ce que nous avons de beau, de bon, de meilleur !
Je ne suis pas Balzac, mais j’adore le français, cette langue merveilleusement riche qui avec l’allemand de Goethe peut si bien rendre toutes les émotions…
Il ne s’agit pas de la maîtriser dans tous ses détours, mais comme dans un labyrinthe, trouver les dédales du chemin plus attractifs que la sortie elle-même avec tous ses accents circonflexes, tirets et autres cédilles … qui lui procurent ce charme exclusif et ses jardins secrets !