Le lumbago ou tour de rein est techniquement une affection du noyau du disque intervertébral situé entre les deux dernières vertèbres lombaires.
La personne ayant mal au dos à l’impression de devoir trop endosser. Parce qu’on lui en demande trop, ou parce qu’elle-même est trop exigeante, elle s’encombre de fardeaux trop lourds pour elle.
Il s’agit d’une instabilité psychique momentanée.
Le dos représente l’équilibre. Il est, l’arbre de vie. Le mal de dos peut donc avoir pour signification un déséquilibre entre plusieurs contraintes, une difficulté à gérer des émotions…
La personne qui a mal au BAS DU DOS, c’est-à-dire dans la région du SACRUM, la partie la plus basse du dos, est celle pour qui la liberté est sacrée et qui a peur de perdre sa liberté de mouvement quand les autres ont besoin de son aide. C’est souvent une personne qui a peur pour sa survie.
Ressentir une douleur du BAS DU DOS A LA TAILLE, a un lien avec la peur du manque due à de l’insécurité matérielle. En effet, le dos étant le soutien du corps humain, tout mal de dos a un lien avec ne pas se sentir assez soutenu.
La personne ayant mal au HAUT DU DOS, c’est-à-dire de la dorsale dix jusqu’aux cervicales, de la taille jusqu’au cou, est plutôt celle qui souffre d’insécurité affective. C’est une personne pour qui le faire est très important car c’est ce qui la sécurise. Lorsque que quelqu’un fait quelque chose pour elle, elle se sent aimée. Elle attend donc beaucoup des autres et lorsque ses attentes ne sont pas comblées, elle a l’impression d’en avoir beaucoup sur le dos.
Revenons au « tour de rein » notre propos, cet « empêchement » tient plutôt du processus inverse : psychologiquement se cache toujours un critère de colère associée à de la culpabilité, sorte de peur de ne pouvoir faire face à toutes ses responsabilités, le « burn out » point le bout de son nez, même s’il se signale au bas du dos … On a peur de ne pouvoir tout faire nous-mêmes.
En réalité, on est déjà allé au-delà de « nos responsabilités », au-delà de ce que l’on « exige » de nous, et le mot est lancé, nous sommes trop exigeants avec nous-mêmes, alors on nous oblige à nous ralentir, voire nous arrêter quelques jours, pour souffler, pour reprendre et mettre de l’ordre dans nos esprits …
Le mois de Janvier est typique de cela, c’est moins le premier mois de l’année que le dernier de la précédente, et nous évacuons encore, tout ce qui nous a tant marqué : décès, trahisons, pertes …
Le corps est un merveilleux filtre-entonnoir, acceptez cela aussi, c’est après les fêtes et tous les remous quand on croit la sérénité revenue, que toutes sortes d’impuretés accumulées et non digérées se traduisent entre autres par des refroidissements, arthroses, lumbagos etc… Videz votre « sac », vous avez tant aspiré, c’est le moment de nettoyer, purifier, le printemps n’est pas loin.
Le message :
Laissons-nous aider et ne jugeons pas la façon dont les autres font à notre place ce que nous ne pouvons momentanément pas faire …
DÉLÉGUONS !