Toute souffrance qui se montre est prête à partir…
Lorsque vous pensez que vous n’en pouvez plus, que vous êtes arrivé(e) à vos limites d’endurance, c’est là souvent que vous vous exprimez (enfin) honnêtement.
Avant, on souffre, plus ou moins en silence, seule notre triste mine ou nos maux nous trahissent et nous incitent à parler, pleurer, crier !
Toute souffrance psychologique qui ne s’exprime pas par l’action ou la communication, s’imprime sur votre corps ou votre psychisme.
Cependant, entre des gémissements, des gloussements, des reproches, des fatigues et autres déprimes et la vraie expression qui défait les nœuds de l’origine de votre Mal, il y a un pas à faire.
Comme pour tout, la souffrance exige une communication claire, car souvent nous supposons ou aimerions que les autres devinent notre désarroi et c’est rarement le cas.
Et quand le bouchon « saute », tout le monde est surpris, même vous.
Il faut TOUT mettre sur la table, ne pas tourner autour du pot, cibler et identifier « l’ennemi » c’est-à-dire le déclencheur de votre souffrance, c’est une question de santé physique et mentale pour tous.
Regarder les choses en face est le début de la guérison, quand suivent de vraies décisions.