Plus je connais Padre Pio, plus je l’aime, plus je me demande comment on ne peut pas croire en Dieu, et aussi en le démon qui le torturait journellement.
Les preuves, les témoignages de ceux qui l’ont côtoyé quotidiennement jusqu’en 1968 année de sa mort, sont tellement éloquents, évidents, qu’il faut être inconscient pour ne pas tomber à genoux devant la vie de ce mystique qui participait à la passion de Jésus-Christ.
Un prêtre toujours vivant qui l’a bien connu, dit que le sang qui s’écoulait de ses plaies sentait la violette et que le matin sa tête était régulièrement tuméfiée par les coups du démon.
J’ai moi-même longtemps lutté contre cette idée de devoir souffrir et contre l’idée même d’un démon bien réel. J’en suis revenue mes amis, tout cela est tellement vrai, pensez-y …